Alzheimer jusqu'au bout de la vie: Auteurs : Laurent SERFATY: Type de document : audiovisuel Editeur : Paris : Altomédia, 2005: Pagination : 52 mn., Couleur / DVD, PAL : Mots-clés : Thesaurus géographique. QUEBEC. Thésaurus PRISME 2014. ACCUEIL / MALADIE D'ALZHEIMER / PERSONNE AGEE / PRISE EN CHARGE: Résumé : Reportage au sein de AnnieGirardot s'est battue jusqu'au bout contre Alzheimer : les touchantes confidences de sa fille . Laura Carreno-Muller | lun. 20 janvier 2020 à 21h17 - Mis à jour le lun. 20 janvier 2020 à Accompagnerla personne atteinte de la maladie d'Alzheimer; Communication assertive; Éducation thérapeutique du patient; Epilepsie : Comprendre et savoir agir; Formation de formateur; Gestion des conflits; Gestion du stress et prévention de l'épuisement professionnel; Gestion du temps et des priorités; Handicap et Cancer Alzheimer jusqu'au bout de la vieest l'histoire croisée des personnels et des résidents d'établissements hébergeant des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer. L'un se situe au Québec : c'est la maison Carpe Diem. Parlerde la maladie d'Alzheimer aux enfants Pour aider les familles à parler de la maladie, l'Association France Alzheimer a réalisé un livret de 12 pages intitulé “La maladie d'Alzheimer expliquée aux enfants“, en partenariat avec l'Action et Documentation Santé pour l'Education Nationale (ADOSEN). Conçu pour expliquer la maladie à des enfants âgés de 8 à Confinementet maladie d’Alzheimer, la difficile équation. 9 avril 2020 15 février 2021. L’aide à domicile au temps du COVID . L’aide à domicile au temps du COVID. 4 mars 2020 4 juin 2020. Vieillir et rester acteur de la société. 4 mars 2020 7 janvier 2021. CITOYEN JUSQU’AU BOUT DE LA VIE. Navigation des articles. Articles plus anciens. Abonnez-vous à mwfbcV. Récompensé aux Oscars pour son incroyable performance dans le rôle principal, Anthony Hopkins offre son visage à l’image tant aimée du père. The Father », qui sortira en salles le 26 mai prochain dans les salles françaises, est de loin le film le plus émouvant de l’ de sa propre pièce de théâtre intitulée Le Père 2012, le film du dramaturge Florian Zeller, aussi déroutant que sensible, aborde la réalité difficile de la maladie d’Alzheimer. Pour l’occasion, le réalisateur s’est entouré d’une excellente équipe artistique, du compositeur Ludovico Einaudi au directeur de la photographie Ben Smithard Downton Abbey le film, King Lear sans oublier le casting qui rassemble Anthony Hopkins, 83 ans, jouant le rôle du père sénile et l’actrice, Olivia Colman The Crown, The Lobster qui joue Anne, une fille dévouée à son père. À travers le sujet de la démence sénile, Florian Zeller aborde l’impact de ce déclin sur chacun, mais aussi la tendresse et l’abnégation des proches. Et si cette œuvre ressemble à un requiem, c’est qu’elle est aussi douloureuse que belle. Le respect du père, jusqu’au bout, malgré tout, voilà la grandeur de ce film qui restaure le sens de la fin de vie telle qu’elle est, sans tricher ni cacher avec une grande virtuosité. Le père, l’amour et le temps qui s’oublie Les trois choses les plus importantes dans une vie sont sans doute les liens, les souvenirs et le temps. Autrement dit le bonheur d’être lié par l’amour, de garder des traces de sa vie et de pouvoir continuer à la vivre à loisir. Mais dans le décor d’un appartement londonien, ces trois éléments se délitent à mesure de la progression de la maladie d’Anthony, cet ancien ingénieur très intelligent », comme il aime à le rappeler, et père de deux filles, dont l’une l’a accueilli chez Hopkins est tout à tour caractériel, drôle, fantasque et perdu par toutes ces choses qui arrivent sans jamais se ressembler ou s’expliquer, pour ensuite s’avérer fausses ou tout autres. Il passe son temps à chercher sa montre, à croire qu’on la lui vole. Qui est cet homme qui s’introduit chez lui ? Pourquoi son autre fille ne vient jamais lui rendre visite ? Sa mémoire lui joue des tours et il ne le sait pas. Pourtant, on aimerait le croire, lui rendre sa dignité d’homme mûr et accompli qui peut encore s’avaler un whisky cul sec et savourer des hymnes d’opéra. À son âge, il redevient pourtant enfant parce qu’il ne peut plus se débrouiller seul. Plus que la maladie, c’est le chamboulement pour tous qui est difficile et que le spectateur subit de plein infirmières se succèdent pour décharger Anne de cette lourde charge. Mais la mémoire continue de s’effacer. Le devoir filial et l’amour dévoué se fragilisent face aux difficultés. D’un bout à l’autre, les scènes vont crescendo à mesure que l’on vit au diapason d’ Anthony la perte des repères et l’incompréhension. Plus que la maladie, c’est le chamboulement pour tous qui est difficile et que le spectateur subit de plein fouet. Car certaines scènes sont dures, même si le film convoie vers une lenteur propre à rendre la douleur plus douce. © IMDBSans l’amour, cela ne serait pas douloureux, sans le respect que l’on accorde à une personne âgée non plus, comme on peut voir avec Laura, l’aide-soignante qui est d’une grande délicatesse. C’est le profond attachement à l’humain qui rend ce film bouleversant et bienfaiteur. Notamment à travers ces figures de femme — contrairement à certains hommes de l’histoire — qui portent en elle le respect de la vie, même déclinante, et l’accompagnent jusqu’au bout avec tendresse. Ce sont elles qui rendent à cette tragédie la beauté de la vulnérabilité. À son service, le dévouement ne peut pas faire d’économie. Et c’est un très grand film que Florian Zeller nous offre ici. Il nous permet de comprendre la situation de chacun. De cet enfant démuni qui veut aider son père dont mais qui fait face à l’appel de la vie, en passant par celui qui est, peu à peu, dépossédé de tout, et qui a besoin d’être protégé et aimé. The Father, de Florian Zeller, avec Anthony Hopkins, Olivia Colman et Imogen Poots, 1h38, en salles le 26 mai 2021 octobre 2008 Une conférence aura lieu A BREST - Faculté de medecine - rue Camille Desmoulins - Amphi I Avec NIcole POIRIER, Directrice de CARPE DIEM au QUEBEC sur le thème "UN AUTRE REGARD SUR LA MALADIE D'ALZHEIMER" Projection du film "Alzheimer, Jusqu'au bout de la vie" Merci de vous inscrire au secretariat du Centre St Vincent de Lannouchen de Landivisiau au 02 98 68 06 55 La conférence initialement prévue le 7 novembre à Guilers a dû être annulée - Nous vous prions de bien vouloir nous en excuser et en prendr'e note - Merci D'autre part, une erreur de date s'est glissée dans le communiqué concernant la conférence à BREST avec Nicole Poirier - Directrice de Carpe Diem au QUEBEC la conférence aura bien lieu le vendredi 14 novembre - S'inscrire au Centre Lannouchen au 02 98 68 06 55 ACCUEIL - ECOUTE - INFORMATIONS Un bénévole à votre écoute -locaux ARPAQ sur RENDEZ VOUS au 02 98 44 90 27 JEUDI 27 NOVEMBRE - DE 14 H à 16 H Le Bistrot Mémoire au bar au "Bistrot Côté Mer", port du Moulin Blanc fermera ses portes les lundis 27 octobre - 3 novembre et 10 novembre 2008. La psychologue de France Alzheimer 29 et l’équipe de bénévoles seront présents dès le lundi 17 novembre pour informer, conseiller et écouter les familles de malades Alzheimer, les malades et les professionnels. Mme Gelébart, ergothérapeuthe à la MAPAD de Guipavas interviendra à 16 h sur le maintien de l'autonomie physique "Gestes et postures pour aider". Pour ne pas rester seul face à la maladie d'Alzheimer et mieux l’accompagner. CONFERENCE SUR LE PLAN D’AIDE DANS LA MALADIE D’ALZHEIMER - SALLE COAT KER - QUIMPERLE LE 16 OCTOBRE A 18 H 00 Le 16 octobre prochain, l’association France Alzheimer 29 en partenariat avec les AGF/ADPS organise une conférence à Quimperlé , salle Coat Ker à 18 h 00 sur le thème Comment établir un plan d’aide dans la maladie d’Alzheimer ». Beaucoup de personnes ont du mal à demander de l’aide et à accepter d’en recevoir. Elles veulent être autonomes et pensent reporter toujours plus loin leurs limites. Pourtant, il est important de savoir qu’on ne peut s’occuper seul d’une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer 24 h / 24 pendant des années, d’où l’importance d’établir un plan d’aide. Le Dr Hazif Thomas, psycho-gérontologue à l’Hopital de Quimperlé expliquera pourquoi et comment mettre en place un plan d’aide dans la maladie d’Alzheimer. L’association France Alzheimer et l’association Ti Ma Bro présenteront les diverses actions qu’ils proposent aux familles pour rompre leur isolement et trouver des relais dans l’accompagnement des malades. Dans les institutions gériatriques, le discours éthique courant établit avec bienveillance que les vieillards ont le droit d’avoir une sexualité». Mais dans les faits, cette sexualité pose problème, car elle se manifeste sous des formes dérangeantes, troubles, voire cauchemardesques. Les professions d’infirmières, d’aides-soignantes ou d’auxilliaires de vie sont en France féminisées à plus de 80%. Ce sont des femmes qui, pour l’essentiel, travaillent dans les institutions chargées d’assurer le Dans les institutions gériatriques, le discours éthique courant établit avec bienveillance que les vieillards ont le droit d'avoir une sexualité». Mais dans les faits, cette sexualité pose problème, car elle se manifeste sous des formes dérangeantes, troubles, voire Les professions d’infirmières, d’aides-soignantes ou d’auxilliaires de vie sont en France féminisées à plus de 80%. Ce sont des femmes qui, pour l’essentiel, travaillent dans les institutions chargées d’assurer le bien-être de personnes frappées de la maladie d’Alzheimer ou de pathologies apparentées et qui, en fin de vie, ne présentent parfois plus l’aspect que de corps sans conscience… Or ce qu’il y a d’inimaginable avec ces corps, c’est que, même naufragés, plongés dans la confusion sous l’emprise de médicaments ou perdus dans les abîmes de l’inconscience, ils exercent une emprise énorme sur les personnes qui sont chargées d’en nettoyer les replis et d’en satisfaire les sur 20 ans d'expérience clinique, Pascale Molinier, professeure de psychologie à l'Université de Paris 13, aborde ce sujet avec toute la délicatesse possible dans un texte à la fois poétique et déchirant publié dans le dernier numéro de la revue Genre, sexualité & société, elle aborde la question du sexuel dans le soin gériatrique» à partir d'exemples y a cette aide-soignante qui n'ose plus laver une malade car, celle-ci, comme en pilote automatique, alors qu'on la nettoie au gant, se met à se frotter dessus avec insistance. Il y a cette autre aide-soignante qui s'étonne de découvrir le corps d'une très vieille dame incroyablement beau et qui se sent coupable d'éprouver du plaisir à en caresser la peau si douce… Mon dieu, cette Madame là …. Elle avait 94 ans peut-être. Mais je pensais seulement Elle a tellement un beau corps» ». Et puis il y a aussi cette élève infirmière, qu'on charge de s'occuper d'une femme âgée atteinte d'un cancer intestinal et qui, doit, tous les jours, enlacer le corps couvert de souillures de cette malade aux paroles erratiques, et qui finit par en faire des cauchemars. Elle rêve que cette femme, ses bras, ses cheveux, sa merde et les draps du lit s'allongent, ils ondulent et s'enroulent en ruban de corps et de toile autour d'elle, ils l'enlacent et l'entraînent vers un fond insondable de nuit et de cloaque. L'étreinte semble se dérouler au lit même de la dormeuse qui s'agite, se réveille et se rendort, se débattant sans bien distinguer la démarcation entre le rêve et la veille, les draps du lit d'hôpital et les siens, son corps et celui de la vieille, tout confondu.»Dans le cadre hospitalier, la sexualité n'est pas que génitale, au contraire. Elle déborde par tous les pores de ces corps qui se livrent sans plus aucune pudeur aux manipulations du personnel soignant ce sont des bouches qui happent, des mains qui palpent l'air, des langues qui sortent, des regards étrangement fixes dans des orbites de momie… On parle souvent du pouvoir sur les corps biopouvoir mais qu'en est-il de la puissance des corps, et singulièrement de ces corps-là ? Il faut ici imaginer l'alignement dans les salons des EHPAD de ces créatures percluses dans des fauteuils articulés high-tech, sorte de cyborgs centenaires ou presque, imaginer l'inquiétante étrangeté de ces vies aux corps déformés, bouche édentée vorace, imaginer cette présence particulière de l'humain parvenu aux bornes de la vie, souvent sans langage et nous confrontant nous-mêmes aux bornes du langage. Comment penser, dire cette contradiction désarçonnante» d'une puissance de vie aux confins de la mort?».Pour Pascale Molinier, les corps des très grandes vieillardes et des malades en phase terminale sont comparables à ceux des zombis cadavres vivants, mûs par un instinct monstrueux de se nourrir des contacts humains que leur cerveau désagrégé parvient encore à percevoir… Ils nous vampirisent» disent pour leur part les de gériatrie à propos de leurs patients. Autre image du mort-vivant, et fortement sexualisée, pour dire ce sentiment d'être happé par la puissance pulsionnelle d'un corps, par cette corporéité dont le sujet s'est éclipsé ou se tient hors d'atteinte, concaténation de vie et de mort».Il y a de quoi devenir fou quand on soigne des personnes qui ont aimé, vécu, pensé, et qui ne sont plus que des sacs excréteurs promis bientôt à disparaître. Il y a de quoi devenir fou, surtout, quand ces corps qui autrefois étaient des êtres conscients continuent d'avoir envie ne serait-ce que d'un contact de peau… Comme des plantes qui, instinctivement, se tournent vers le soleil, certaines vieillardes manifestent des désirs réflexes à l'approche des soignantes qui ne savent comment réagir… et se sentent souvent coupables de ne pas parvenir à gérer» ce rapport ambigu au patient. Le sexuel est dans le soin, comme le ver dans la pomme», résume Pascal Molinier, qui égratigne au passage un tabou récurrent de nos institutions… De toute évidence, pour certaines autorités médicales, il n'est pas question de reconnaître cet aspect des soins apportés aux malades.J'ai moi-même fait l'expérience de ce désaveu, à plusieurs reprises, lorsque j'ai voulu rendre visibles et explicites ces dimensions du travail soignant. Au récit d'une histoire de séduction entre un vieillard récalcitrant à tout traitement neuroleptique et ses soignantes qui parvenaient cependant à l'amadouer en lui concédant le droit à quelques attouchements étroitement contrôlés, il m'a été objecté, entre autres, que cela n'existait plus par quel miracle ?, qu'elles auraient mieux fait de se plaindre à leur direction pour harcèlement sexuel le vieillard avait 90 ans et souffrait de la maladie d'Alzheimer!, que ce qu'il cherchait n'était pas sexuel mais affectif… Des chercheurs ont même prétendu que, dans la mesure où ils ne rencontraient pas ce genre de situations dans leur matériel, c’était moi qui étais perverse et suspecte de rechercher le vice partout. Ou bien je brodais, je faisais de la littérature à partir d’anecdotes non significatives. J’ai été invitée dans l’une des toutes premières formations sur la bientraitance destinée à des personnels en gériatrie. Essayant d’expliquer que les compromis de ces aides-soignantes étaient susceptibles de nous éclairer sur ce que signifie concrètement la bientraitance et ses inévitables ambivalences, j’ai déclenché les foudres des pontes présents dans la salle et je ne suis pas prête d’oublier la façon dont ils m’ont confisqué la parole pour se disputer entre eux sur ce qu’était un bon soin» certainement pas ce que j’en disais, sous le regard médusé d’infirmières et d’aides-soignantes réduites au silence et qui sont venues s’excuser auprès de moi, à la pause, de n’avoir pas eu le courage de prendre la parole en ma est-il de bon ton de concéder aux personnes âgées le droit à une sexualité», mais il ne faudrait surtout pas que celle-ci déborde dans le soin où elle n'aurait pas lieu d'être. Les prescriptions à la bientraitance ignorent allègrement le réel du travail, l'intelligence que les y déploient, leurs trésors de ruse et d'attention pour ne pas déraper ni du côté de la violence ni du côté de la perversion. Un exercice d'équilibriste qui n'a rien de facile, et dont le résultat est nécessairement ambigu». L'article de Pascale Molinier est plus qu'un manifeste contre le non-dit et l'hypocrisie qui entourent la profession d'infirmière ou d'aide-soignante, c'est aussi une magnifique approche de cette chose obscure, impensable, effrayante, qui est tapie dans notre corps. Qui fait partie, intrinsèquement, de lui le désir.Ou bien on définit l’être humain à partir de sa corporéité, avec les ressorts féroces de l’autoconservation, avec le désir inconscient irrigant la sexualité, la sensualité, la sensibilité, ainsi qu’à partir du ravage de sa présence pour autrui quand même. Là, dotés d’un corps habité d’une vie intérieure, en relation avec d’autres corps habités, nous devenons tous beaucoup plus incohérents, ambivalents ou obscurs. Et les éthiques conventionnelles y perdent leurs concepts. Dans cette perspective, ce qui apparaît déficitaire, ce ne sont pas les êtres humains qui ne répondent pas aux critères du modèle des droits» au respect, à la sexualité, etc., même lorsqu’on leur concède qu’ils sont des personnes notamment du fait qu’ils ont possédé la raison ou auraient pu la posséder. C’est la théorie morale elle-même qui paraît déficitaire dans son incapacité à inclure des humains pour ce qu’ils sont, par exemple humain sous la modalité Alzheimer. Ces êtres humains toujours désirants, a minima dans le registre de la pulsion invocante ou de la voracité, nous exposent au sentiment corporel de notre vulnérabilité en même temps qu’à l’enchevillement de la pulsion sexuelle dans un corps qui ne devient purement organique qu’à la mort ». Source Pascale Molinier Le sexuel dans le soin gériatrique. Une difficulté dans la réalité». Article publié dans le numéro 6 - Vieillir» - de la revue Genre, sexualité & société, coordonné par Marc Bessin et Marianne sexualité & société est une revue francophone, à comité de lecture, d'études sur le genre et sur la sexualité. Créée en 2009 par un groupe de jeunes chercheur-e-s en sciences humaines et sociales, la revue Genre, sexualité & société se revendique comme un espace de dialogues et d'échanges, ouverte à différentes approches sur Photo cc BY-SA schnaars sur flickr Titre Alzheimer jusqu'au bout de la vie Type de document document multimédia Auteurs Laurence Serfaty, Auteur Année de publication 2005 Importance 55mn Langues Français fre Catégories Alzheimer , Démence Index. décimale - Maladie d'Alzheimer Généralités, recherche, diagnostic, thérapeutique, prise en charge, relation familiale... Résumé La maison Carpe Diem, au Québec, à Trois-Rivières, accueille des patients atteints de la maladie d'Alzheimer. La philosophie des lieux, élaborée année après année par Nicole Poirier, la directrice, et toute son équipe, repose sur l'idée principale de "bâtir chaque jour une belle journée". En France, on s'intéresse de plus en plus à cette vision. Des responsables d'établissements, comme la directrice de l'Etablissement d'Hébergement de Personnes Agées Dépendantes de Longuenesse, dans le Pas-de-Calais, veulent faire évoluer l'accompagnement de leurs résidents et font appel à Nicole Poirier. Pourtant, l'organisation de ce type d'établissement, centré sur le soin et non pas sur la personne, est peu comparable à celle de Carpe Diem. Nicole Poirier vient néanmoins transmettre son approche. L’espérance de vie s’allonge. Chance ou malédiction ? Autrefois respectées, les personnes très âgées sont oubliées dans des lieux dévolus à la fin de vie loin du regard d’une société vouée à la performance. La valeur de ces vies diminuées’ est de plus en plus relativisée, et souvent intériorisée, entraînant une perte de confiance en soi, voire des dépressions ou un phénomène de glissement. Le docteur Véronique Lefebvre des Noëttes montre pourtant les solutions et la douceur de vieillir bien et nous fait entendre la voix et l’amour de la vie de nos aînés Lefebvre des Noëttes, psychiatre du sujet âgé, accompagne au jour le jour les patients atteints d’Alzheimer du plus grand hôpital de gériatrie de France. Elle est docteur en philosophie pratique et éthique médicale, ce qui la conduit à une double réflexion éthique et philosophique, ancrée dans une longue expérience clinique de praticien hospitalier Source RTBF La Première. Lire la suite

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