En2013, lors d’un séjour à Djibouti dans le 5ème régiment interarmes d’outre-mer, ses qualités reconnues de meneur d’hommes font de lui un cadre solide. Chef de peloton, adjudant-chef Unbref séjour à Ouagadougou pour une rencontre d'anciens chefs de l'Etat avec le nouvel homme fort du pays, le lieutenant-colonel Paul Henri Sandaogo Damiba. Jepeux vous donner des informations qui datent de mon voyage à Harar en novembre 2012. De DIRE DAWA j'ai pris un Taxi il faut compter l’équivalent de 50 euro A/R. Entre les 2 villes il y a de l'activité donc pas de problème pour trouver un taxi. Si vous recherché à Harar une maison typiquement Harari avec le confort je vous conseille la maison Rowda waber (de Rienne vaut un séjour à Djibouti. On n'y compte, dites vous, quarante-quatre degrés à l'ombre? Qu'est ce que cela peut vous faire puisqu'il n'y a pas d'ombre? Albert Londres . mardi 1 novembre 2011. Des vacances de rêves, chapitre 2. Nous voici pour deux heures à Obock, le premier port français dans le golfe d'Aden. Sur le papier cela semble alléchant: des restos en Lesmeilleures offres pour Bottes militaires à clous Soprano Black le noir sont sur eBay Comparez les prix et les spécificités des produits neufs et d 'occasion Pleins d 'articles en livraison gratuite! Quandla Belgique refuse de lui délivrer son permis de séjour, Alhoumekani se souvient subitement de cette conversation dans le jardin présidentiel de Djibouti. Un témoignage à prendre avec d s9EQp. Ce que vous allez apprendre aujourd’hui Comment devenir aide-soignante militaire Tout savoir sur le métier d’aide-soignante militaire Lorsque l’on pense à l’armée, on pense surtout aux armes, aux conflits, aux combats ou encore à la guerre. Mais autour de ceux qui combattent il y a un grand nombre de professionnels qui peuvent également être sur le terrain cuisiniers, médecins, infirmiers ou….aides-soignantes. Nous vous ouvrons les portes aujourd’hui d’un univers méconnu celui d’aide-soignant militaire. L’aide-soignant militaire en détails Etre aide-soignante militaire, c’est exercer un métier d’une part réglementé par le code de la santé et d’autre part exercer un métier encadré par les dispositions du code de la défense propres à l’état de militaire. Pour être aide-soignante militaire il faut d’abord être titulaire du diplôme d’Etat d’aide-soignant. Elle doit suivre ensuite une formation militaire initiale FMI qui a pour objectif l’intégration dans la communauté militaire et l’acquisition des connaissances militaires et techniques nécessaires pour occuper un emploi au sein du SSA Service de santé des armées. La formation se déroule durant 4 semaines à Rochefort. Une fois diplômée, l’aide-soignant militaire exerce son métier dans le milieu militaire au profit de la communauté de défense dans les sections hospitalières des Hôpitaux d’instruction des armées SHIA ou pour certains dans les Régiments d’instruction et intervention de la sécurité civile RIISC. L’aide-soignant pourra exercer un champ d’activités diversifiées en termes de pathologies rencontrées et de modalités d’exercice. Beaucoup d’aides-soignants peuvent être amenés à faire des opérations extérieures OPEX. Ils doivent donc être capables d’exercer leur métier dans des conditions exceptionnelles ou dangereuses. Le métier d’aide-soignante en zone de conflit impose l’acquisition et le maintien de capacités physiques, de qualifications militaires et linguistiques spécifiques. De nombreuses activités incombent à l’aide-soignante militaire. L’acquisition de compétences supplémentaires est attendue des aides-soignantes militaires afin qu’elle soit capables de maîtriser son milieu d’emploi et de s’intégrer dans un dispositif de soutien sanitaire opérationnel. Les qualités d’une aide-soignante militaire Selon le témoignage d’une aide-soignante militaire, il faut avant tout avoir le sens du devoir et des prédispositions relationnelles et psychologiques. Avoir le sens de l’écoute, une ouverture d’esprit et une certaine capacité à se remettre en question sont également des qualités que doivent avoir une aide-soignante militaire. Patience, impartialité, disponibilité et une certaine capacité à se remettre en question font également partie des qualités. Le travail d’une aide-soignante militaire Vous ne serez pas forcément dans une zone de combat à soigner des militaires blessés comme on peut le voir à la télé. Les patients peuvent être des enfants, des familles, civils ou en mission humanitaire. L’aide-soignante militaire peut être un véritable soutien psychologique pour les personnes qui ont perdu de façon temporaire leur autonomie. Elle fera comme dans le civil tout pour que le séjour du patient se passe dans les meilleurs conditions possible. Elle travaille bien sûr en étroite collaboration avec les infirmières et les médecins militaires. Nos conseils Si vous êtes en formation aide-soignante et que vous vouliez faire une carrière dans l’armée ou si vous êtes déjà aide-soignante et que vous voulez faire un virage dans votre carrière, voici nos conseils – N’hésitez pas à vous renseigner directement dans un hôpital militaire et ainsi avoir toutes les infos nécessaires sur ce métier trop méconnu encore – Avoir une première expérience professionnelle est un plus pour s’engager dans cette voie – Avoir de bonnes capacités physiques encore plus que dans le civil – Etre autonome et faire preuve d’un esprit d’analyse est primordial. Si ce n’est pas votre cas, ce n’est pas être pas une voie professionnelle pour vous ​ Commencez votre formation Aide Soignant dès maintenant ! Cours Minerve propose des formations reconnues par l’état pour devenir aide soignant, recevez gratuitement toute la documentation nécessaire à l’inscription en remplissant les champs ci-dessous Djibouti est historiquement une partie de la Somalie davantage liée à l’Orient, à la croisée de l’Océan Indien et de la Méditerranée, plutôt qu’à l’intérieur du continent africain. La présence française dans le territoire se développe dès les années 1840 dans la perspective de l’ouverture du Canal de Suez, construit en Égypte par des capitalistes français et les anglais. En 1862, cinq ans avant l’inauguration du Canal, l’armée française du Second Empire de Napoléon III, dans le cadre de sa politique impérialiste, établit une petite colonie à Obock, dans l’actuelle partie nord du territoire de Djibouti, afin de contrebalancer la présence britannique à Aden, au Yémen, de l’autre côté du détroit de Bab el-Manbed. La colonie se développe surtout à partir des années 1880, dans le cadre de la violente compétition impérialiste qui oppose alors les puissances de l’Europe occidentale en Afrique. L’armée française déplace alors le siège de la colonie vers l’actuel site de Djibouti et l’État républicain encourage le développement des activités commerciales. C’est l’époque où le poète Arthur Rimbaud parcourt la région et commerce avec le roi Ménélik d’Ethiopie. L’accès à l’Éthiopie, principal foyer de peuplement et d’activité de la région, constitue alors l’enjeu principal de la rivalité dans la région entre les puissances impérialistes françaises, britanniques et italiennes, qui mettent en coupe réglée la côte de Somalie et d’Érythrée. Djibouti est alors définitivement arrachée à l’influence ottomane, déjà toute formelle, et devient une colonie en 1896 sous le nom de Côte française des Somalis et dépendances ». L’édification du chemin de fer reliant le nouveau port de Djibouti à la nouvelle capitale éthiopienne Abbis Abeda, achevé en 1917, entraîne le rapide développement des deux agglomérations, Djibouti devenant depuis le principal débouché maritime de l’Éthiopie. Les autorités coloniales françaises, appuyées sur l’armée et l’Église catholique, organisent alors formellement la ségrégation ethnique entre les Afars, nomades du nord et les Somalis, divisés en tribus dont la principale est celle des Issas. Dans les deux groupes, une élite francophone est formée, mais les tensions entre les deux ethnies, attisées par l’organisation coloniale, se développent et perdurent jusqu’à nos jours, le développement national inabouti n’ayant toujours pas vaincu cet écueil. Après la Seconde Guerre Mondiale, Djibouti devient un port franc, maintenu sous contrôle français, mais avec une influence croissante de la puissance impérialiste américaine. Le territoire est secoué par de violentes émeutes durant les années 1960, violemment réprimées par l’armée française et particulièrement par la Légion Étrangère, notamment lors de la visite du Général De Gaulle le 26 août 1966. Finalement, le 27 juin 1977, la République de Djibouti est proclamée par l’élite francophone contrôlée par Paris, qui maintient une forte présence militaire et conserve un quasi monopole sur les institutions éducatives supérieures et sanitaires du pays et sur son économie par le biais de ses entreprises monopolistiques. Près de 60% du PIB se fait encore en lien direct avec les entreprises françaises aujourd’hui. Jusqu’aux début des années 2000, Djibouti est toujours en proie à de violentes révoltes, les unes opposants les deux ethnies principales pour le contrôle du pouvoir, les autres opposants les nationaux de la ville de Djibouti aux nombreux travailleurs étrangers recrutés pour les activités portuaires en particulier. Et ceci sans parler des nombreux réfugiés parqués dans les camps du HCR dont le nombre s’est encore accru ses dernières années. Après les attentats de 2001 aux États-Unis, et dans le contexte du développement des échanges maritimes conteneurisés dans l’Océan Indien, Djibouti devient une place majeure du commerce maritime eurasiatique, tournant le dos à son hinterland africain, alors que l’Éthiopie et la Somalie s’effondrent et que se développent les réseaux du terrorisme islamique et la piraterie. Mais Djibouti manquant de structures étatiques fortes et notamment en matière éducative, le pays ne peut espérer devenir une sorte de Singapour africain, et passe presque immédiatement sous contrôle étranger. Les États-Unis y installent dès 2002 une base opérationnelle d’au moins 1000 hommes, considérée comme étant dans une zone de guerre » par l’armée américaine, chargée d’abord de lutter contre les réseaux liés à Al-Quaeda, puis à la piraterie, puis de nouveau à Al-Quaeda depuis l’effondrement du Yémen. Parallèlement, l’Allemagne y installe elle aussi sa première base maritime à l’étranger. Mais depuis le début des années 2010, Djibouti est devenu un des enjeux de la nouvelle lutte inter-impérialiste qui s’annonce. Le port autonome est ainsi depuis 2013 sous le contrôle de l’opérateur DP-World, une firme monopolistique émiratie, de Dubaï, spécialisée dans la gestion des ports à conteneurs qui opère dans la plupart des ports chinois et européens comme Rotterdam et Marseille notamment depuis sa fusion-acquisition avec le britannique P&O. Les Émirats Arabes, armés par la France, ont d’ailleurs ouverts à cette occasion eux aussi une installation militaire à Djibouti. Cet élan a incité la République Populaire » de Chine à s’intéresser elle aussi à Djibouti dans le cadre de son expansion à visée impérialiste vers l’Afrique. La Chine a ainsi participé à restaurer la ligne ferroviaire vers l’Éthiopie et a installé à Djibouti une base de quelques centaines de soldats, appelée néanmoins à pouvoir accueillir éventuellement jusqu’à 10 000 soldats, soit presque autant que l’ensemble des forces armées nationales et trois fois plus que tous les autres pays réunis. Inquiet de l’expansion chinoise, le Japon à son tour y a installé sa première base navale extérieure. A parler clairement donc, Djibouti est en train de devenir une poudrière. La presse bourgeoise, notamment le Figaro, comme les commentateurs bourgeois en géopolitique, ont saisit cet enjeu, mais bien entendu dans une perspective de défense de l’impérialisme français. C’est la raison pour laquelle la Gauche de notre pays ne peut pas fermer les yeux sur cette question. La tâche historique de la Gauche est d’œuvrer partout à l’amitié internationale et à la paix et de lutter contre l’impérialisme de son propre État. Or que voyons-nous ? L’armée française dispose à Djibouti de sa plus importante base hors de notre territoire national, déjà particulièrement étendu à l’échelle mondiale du fait du maintien, et souvent brutalement, de certains territoire sous contrôle direct français. La présence militaire française à Djibouti est actuellement régie par un accord signé en 2014, selon lequel en contrepartie d’un versement annuel forfaitaire de 30 millions d’euros, les Forces Françaises de Djibouti FFDj bénéficient d’une totale immunité fiscale. L’effectif permanent sur place oscille entre 1000 et 2000 personnes en fonction des années. L’armée française étant en outre chargée d’une mission de formation, de soutien à l’armée nationale et de coopération notamment en matière médicale. Il faut dire qu’en dépit de toutes ces attentions » impérialistes y compris française au premier rang, ni l’eau courante potable, ni l’électricité, ni l’accès à la scolarisation de base de la population locale n’est assurée hors de la ville de Djibouti et que le paludisme y continue d’y être endémique en zone rurale. Le dispositif militaire français à Djibouti est aussi le seul à être complet, toutes les armées y étant représentées. L’armée de Terre y stationne ainsi une unité d’élite, la seule de forme interarmées, disposant d’unités d’infanterie, de blindés et de moyens aériens propres le 5e RIOM, en mesure d’être projeté n’importe où dans la région, notamment en Centrafrique par exemple. C’est aussi une unité chargée de la formation, non seulement des forces nationales, mais aussi des unités militaires alliées comme celles des Américains via son centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement de Djibouti » CECAD. Cette unité maintient des traditions particulièrement réactionnaires, sa devise fier et fort » et ses liens historiques avec les unités de marine coloniale, les marsouins infanterie et les bigors artillerie, fait qu’il n’est pas rare d’y entendre encore le cri de guerre Et au nom de Dieu, vive la coloniale ! », liée au souvenir du Père missionnaire Charles de Foucauld, lors des cérémonies ou avant les engagements. Cette unité est encore renforcée par la présence de moyens de l’armée de l’Air chasse aérienne et batterie de missiles et bien entendu de la Marine moyens logistiques et forces spéciales. Les liens historiques entre notre pays et Djibouti imposent à la Gauche de notre pays de rompre avec toute forme d’impérialisme contre Djibouti. D’autant que la concentration croissante de moyens militaires de puissances expansionnistes y impose d’assumer, même unilatéralement, un désengagement avant de dénoncer totalement toute présence militaire étrangère sur le sol de Djibouti. L’armée française doit donc se retirer totalement de ce territoire, ses bases et ses moyens militaires doivent être entièrement démantelés et les troupes stationnées réformées et dissoutes, notamment en ce qui concerne bien sûr le 5e RIOM. Bien entendu, ce démantèlement et ce retrait ne doit pas signifier l’abandon pur et simple du peuple de Djibouti à son sort, c’est-à-dire aux appétits des autres puissances impérialistes ou expansionnistes. Il y a lieu de considérer que les 30 millions alloués annuellement à la corruption du régime puissent déjà rapidement servir à développer les moyens sanitaires et éducatifs, notamment dans les zones rurales. Aussi, que par le biais de la francophonie, on sorte d’une logique de soutien aux élites corrompues pour passer à une logique d’échange idéologique et politique d’émancipation populaire, en soutenant l’alphabétisation en somali et en afar, langues officielles écrites en alphabet latin, vers lesquelles il faut développer traductions et bilinguisme en vue de soutenir une élévation générale du niveau d’éducation et une aspiration au développement de la démocratie contre le régime et contre les forces militaires étrangères stationnées à Djibouti. Il est aussi important de développer une volonté de ré-ancrer Djibouti dans son environnement local plutôt que comme base commerciale au profit des intérêts capitalistes mondialisés. Bien entendu, un tel redéploiement sera aussi une manière de désengager les monopoles français de ce territoire, ce qui est une bonne nouvelle pour le peuple de Djibouti et pour le nôtre. Il faut aussi dire qu’il ne s’agit aussi ici de sortir de toute logique géopolitique » c’est-à-dire impérialiste de la francophonie, ce que par exemple la France Insoumise de Mélenchon ne parvient pas à accepter, pour masquer ses illusions sur une géopolitique alternative ». Notre relation francophone avec Djibouti se résume concrètement à un simple appareil de contrôle des élites. Le pays ne compte, expatriés compris, que 2 à 3% de francophones. Il appartient donc à la Gauche de valoriser par la langue française, mais vers les langues nationales majoritairement parlées à Djibouti un échange éducatif durable dans une perspective de développement nationale propre. Le français doit donc être considéré comme une langue de communication internationale et d’ouverture, au même titre d’ailleurs que l’anglais et l’arabe, mais l’éducation massive du peuple de Djibouti ne se fera qu’en afar et en Somali. Militer contre la présence militaire française à Djibouti et pour le développement d’une amitié populaire et internationaliste dans un esprit démocratique, est un devoir indiscutable de la Gauche française, il n’y a pas à chercher à maintenir une raison à la présence militaire française à Djibouti, il faut briser l’impérialisme de notre pays et rompre avec tout le charabia géopolitique » et pragmatique » qui cherche à le justifier. Guide du départ outre-mer et à l'étrangerà l'usage du militaire et de sa famille Vous êtes assuré militaire et vous allez effectuer un séjour à l'étranger avec votre famille. Avant votre départ, pensez àvous renseigner sur l'actualité de votre pays de destination en cliquant ici votre médecin d'unité ou votre médecin traitantvous rendre dans le service de consultation de médecine des voyages d'un hôpital militaire HIA ou civil Retrouvez toutes les coordonnées des HIA en cliquant ici. Délai optimal Médecin traitant Prescription 8 mois avant votre départLa première consultation Visite médicale de non contre-indication au séjour et au mode de transport Recensement des visites spécialisées conseillées - Dentiste - Ophtalmologiste - Gynécologue - Autres spécialistes Organisation du suivi des soins et de la continuité du traitement Bilans et traitements spécifiques adaptés maladie chronique…6 mois avant votre départLe temps des vaccinations Mise à jour du calendrier vaccinal et organisation du programme des vaccinations cf. la consultation de médecine du voyage des HIA, le calendrier des vaccinations et les recommandations vaccinales selon l’avis du Haut Conseil de la santé publique - voir sources ci-dessous. Selon le vaccin, précautions à prendre pour les femmes enceintes, les prématurés et les porteurs de maladies chroniques. Un certificat de vaccination contre la fièvre jaune est exigé de tous les voyageurs âgés de plus d'un an. liste des centres de vaccination contre la fièvre mois avant votre départ Vérification de la mise à jour du carnet de vaccination Synthèse des résultats et courriers des visites spécialisées Carte de groupe sanguin à réaliser Prévoir les prescriptions des traitements au long cours Pour les médicaments transportés, laissez les dans leur boite d’origine et munissez-vous de leur prescription Traitement préventif antipaludéen et prescription de produits répulsifs cutanés risque de paludisme important et constant La veille du départPour chaque membre de la famille, il est conseillé de préparer dans votre bagage à main Le carnet de vaccination Le carnet de santé La carte de groupe sanguin Les médicaments nécessaires accompagnés de la dernière prescription en dénomination commune internationale Le certificat médical prescrivant les traitements par injection Tous les documents médicaux relatifs à votre état de santé utiles à une éventuelle prise en charge en urgence Pensez à vous munir du traitement antipaludéen prescrit Dernière mise à jour 05/2017Retour en haut de la page En partenariat avec Caisse nationale militaire de sécurité sociale 247 avenue Jacques Cartier 83090 TOULON CEDEX 9 +33 04 94 16 36 00 Ces éléments n'ont qu'une valeur informative et ne peuvent en aucun cas se substituer aux textes actuellement en vigueur. Les informations qui y figurent peuvent être modifiées ou supprimées sans préavis. Services ouvrant droit au bénéfice des dispositions de l'article L. 253 ter du code des pensions militaires d'invaladité et des victimes de la guerreEtat ou territoires concernésDébut de périodeFin de périodeAfghanistan Afghanistan, pays et eaux avoisinants, notamment le KirghizstanOpérations Héraclès, Pamir et Epidote3 octobre 20012 octobre 2015AlgérieDans le cadre des missions menées en Algérie après le 2 juillet 1962 conformément aux accords d'Evian3 juillet 19621er juillet 1964Bosnie-Herzégovine Dans le cadre de l'opération menée au titre la mission de police de l'Union européenne MPUE en Bosnie-Herzégovine1er janvier 200331 décembre 2009Cambodge Cambodge et ses pays limitrophes, leurs approches maritimes et novembre 199131 octobre 1994Cameroun Régions de Wouri, Mungo, N'Kam, Bamiléké, Kribi, N'Tem, Sanaga maritime, Nyong et Kéllé, Nyong et Sanaga, Djà et période17 décembre 195631 décembre 19582e période1er juin 195928 mars 1963Congo Territoire du Congo et pays limitrophes19 mars 199718 mars 2000Côte d'Ivoire Côte d'Ivoire, ses approches maritimesOpérations Licorne et Calao ONUCI19 septembre 200217 septembre 2014Gabon 2 juin 20031er juin 2011Golfe Persique et golfe d'Oman Opérations maritimes30 juillet 198729 juillet 2003Opérations militaires30 juillet 199029 juillet 2003Haiti Dans le cadre de la mission des Nations unies de stabilisation en Haïti MINUSTAH sur les territoires de la République d'Haïti et des pays et eaux avoisinants19 février 200418 février 2014Irak Frontières irano-irakienne opération Ramure et turko-irakienne opération Libage.A compter du 1er avril 1991 et jusqu'à cessation des hostilitésRoyaume de JordanieDans le cadre de l'opération Tamour sur le territoire du Royaume de Jordanie6 août 20125 août 2014République du Kenya, République de Somalie, République du Yémen, Sultanat d'Oman et République de DjiboutiDans le cadre de l'opération Atalanta sur les territoires de la République du Kenya, de la République de Somalie, de la République du Yémen, du Sultanat d'Oman et de la République de Djibouti et leurs eaux avoisinantes ainsi que sur les eaux de la mer Rouge8 décembre 20087 décembre 2010République du Kenya, République de Somalie, République du Yémen, Sultanat d'Oman, République de Djibouti, République de Tanzanie, République du Mozambique et de MadagascarDans le cadre de l'opération Atalanta sur les territoires de la République du Kenya, de la République de Somalie, de la République du Yémen, du Sultanat d'Oman, de la République de Djibouti, de la République de Tanzanie, de la République du Mozambique, de Madagascar et leurs eaux avoisinantes limitées à l'est par le méridien Est 065°, au nord par le parallèle Nord 022° 30 et au sud par le parallèle Sud 015° ainsi que les eaux de la mer Rouge limitées à la zone sud d'une ligne reliant la frontière Erythrée-Soudan à la frontière Yémen-Arabie saoudite8 décembre 20107 décembre 2015Kosovo Dans le cadre de l'opération menée au titre de la mission des Nations unies au Kosovo MINUK10 juin 19999 juin 2009Dans le cadre de l'opération Trident sur le territoire du Kosovo1er janvier 201231 décembre 2013Liban 22 mars 197822 mars 2007République du Liban et Israël, pays et leurs eaux avoisinantesOpérations Daman FINUL et Baliste2 septembre 200631 août 2014République du Liberia Dans le cadre de l'opération MINUL Mission des Nations unies au Liberia sur le territoire de la République du Liberia1er mai 201130 avril 2015Grande Jamahiriya arabe libyenne populaire et socialisteDans le cadre de l'opération Harmattan sur le territoire de la Grande Jamahiriya arabe libyenne populaire et socialiste, pays et eaux avoisinants18 mars 201131 octobre 2011Madagascar 30 mars 19471er octobre 1949République du MaliDans le cadre de l'opération "Serval" sur les territoires de la République du Mali, de la République islamique de Mauritanie, de la République du Sénégal, de la République de Côte d'Ivoire, du Burkina Faso, de la République du Niger et de la République du Tchad10 janvier 20139 janvier 2015Mauritanie 1re période 1er janvier 195731 décembre 19592e période1er novembre 197730 octobre 1980Méditerranée orientale Suez 30 octobre 195631 décembre 1956Ouganda 2 juin 20031er juin 2011République centrafricaine 1re période20 septembre 197919 septembre 19822e période18 mai 199617 mai 19993e périodeOpération "Boali"3 décembre 20021er décembre 2014Dans le cadre de l'opération "Sangaris" sur les territoires de la République Centrafricaine, du Cameroun et du Tchad5 décembre 20134 décembre 2015Dans le cadre de l'opération menée au titre de la police des Nations unies MINURCAT1re période25 septembre 200724 septembre 20082e période15 mars 200914 mars 2011Dans le cadre de l'opération EUFOR Tchad/ RCA sur le territoire du Tchad, de la République centrafricaine et pays avoisinants28 janvier 200827 janvier 2010Rwanda Territoire du Rwanda et pays limitrophes15 juin 199414 juin 1997République démocratique du Congo Opérations Mamba et MONUC2 juin 20031er juin 2011Dans le cadre de l'opération MONUSCO Mission de l'organisation des Nations unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo sur le territoire de la République démocratique du Congo2 juin 20111er juin 2015Somalie Somalie et ses approches maritimes et décembre 19922 décembre 1995Dans le cadre de la mission de l'Union africaine de Somalie African Mission in Somalia sur les territoires de la République fédérale démocratique d'Ethiopie, de la République de Somalie et ses eaux avoisinantes23 septembre 200822 septembre 2014Tchad et pays avoisinants 15 mars 196931 décembre 2013Dans le cadre de l'opération menée au titre de la police des Nations unies MINURCAT1re période25 septembre 200724 septembre 20082e période15 mars 200914 mars 2011Dans le cadre de l'opération EUFOR Tchad/ RCA sur le territoire du Tchad, de la République Centrafricaine et pays avoisinants28 janvier 200827 janvier 2010Dans le cadre de l'opération Epervier sur les territoires du Tchad et des pays avoisinants1er janvier 201031 décembre 2013Timor Oriental 16 septembre 199915 septembre 2001Ex-Yougoslavie Yougoslavie, Slovénie, Croatie, pays limitrophes et eaux avoisinantes1er janvier 199231 décembre 1994Forces multinationales en ex-Yougoslavie, pays limitrophes et eaux avoisinantesOpérations Trident, Astrée et Proxima1er janvier 199531 décembre 2009Opération Trident1er janvier 201031 décembre 2011Zaïre ex-Congo belge 13 mai 197812 mai 1981 Burkina Faso Politique Cliquez pour agrandir l'image Burkina Faso L'ancien président Blaise Compaoré demande pardon » à la famille Sankara 4676 Vues 4 Commentaires Il y a 1 mois © - mardi 26 juillet 2022 - 1227 L'ex-président du Burkina Faso Blaise Compaoré a demandé pardon à la famille de son "frère et ami", son prédécesseur, Thomas Sankara, assassiné lors du coup d'Etat qui l'avait porté au pouvoir en 1987. ".... je demande pardon au peuple burkinabè pour les actes que j'ai pu commettre durant mon magistère, plus particulièrement à la famille de mon frère et ami Thomas Sankara Isidore Noël Sankara", a écrit l'ex-président Compaoré dans un message à la nation lue par le porte-parole du gouvernement Lionel Bilgo. "J'assume et déplore, du fond du cœur, toutes les souffrances et drames vécus par toutes les victimes durant mes mandats à la tête du pays et demande à leurs familles de m'accorder leur pardon", a-t-il poursuivi, appelant à se "donner la main" dans un "esprit de patriotisme" pour "taire définitivement nos querelles et rancœur". "Je souhaite que nous puissions aller de l'avant désormais pour reconstruire notre destin commun sur la terre de nos ancêtres", a-t-il ajouté, estimant qu'il est "important aujourd'hui de travailler au recouvrement de l'intégrité territoriale, à la reconstruction et promotion d'un environnement favorable à l'épanouissement durable pour tous". Selon le président Compaoré. "c'est l'unique voie qui permettra ainsi de mettre fin à nos incompréhensions et conflits intercommunautaires pour lutter efficacement contre le terrorisme qui a tant saigné notre pays et ébranler nos fondements. Nous le pouvons. Nous le devons à notre cher pays dans un sursaut patriotique". Le message de l'ancien président a été remis au président de la transition, le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba par M. Aly Coulibaly. Ministre conseiller du président de la Côte d’Ivoire. Alassane Ouattara. M. Coulibaly qui était accompagné de Djamila, la fille de Blaise Compaoré, a indiqué que "le président Ouattara souhaiterait que le peuple frère du Burkina entende ce message extrêmement fort de l'ancien président Compaoré à qui il accorde l'hospitalité en Côte d'Ivoire depuis huit par humanisme". En rappel, Blaise Compaoré avait effectué en début juillet, et pour la première fois depuis sa chute en 2014. Un bref séjour à Ouagadougou pour une rencontre d'anciens chefs de l'Etat avec le nouvel homme fort du pays, le lieutenant-colonel Paul Henri Sandaogo Damiba. Désormais ivoirien de nationalité et en exil à Abidjan depuis sa chute et avant son retour à Ouaga, Compaoré a été condamné par contumace, le 6 avril, à la prison à perpétuité pour son rôle dans l'assassinat de Thomas Sankara et de ses douze compagnons lors du coup d'Etat en 1987. Lors de son séjour, des organisations avaient réclamé son arrestation au regard de la condamnation et du mandat d'arrêt qui pèse sur lui. Boa, Ouagadougou Par Koaci RESTEZ CONNECTÉ En téléchargeant l'application KOACI. 4 Commentaires Burkina Faso L'ancien président Blaise Compaoré demande pardon » à la famille Sankara Veuillez vous connecter pour commenter ce contenu. Votre avis nous intéresse.

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